La Loire compte onze représentants ce week-end au « Salon Made In France »
La 12e édition du salon Made In France se tient ce week-end, du 8 au 11 novembre à Paris Porte de Versailles. Avec plus de 1 000 exposants et 100 000 visiteurs attendus, c’est « le plus grand événement » dédié à valoriser la fabrication réalisée en France*, du groupe industriel à la TPE artisanale. A valoriser aussi les produits des entreprises exposantes, en général plutôt de taille modeste mais de tous secteurs confondus : mode, déco, gastronomie, innovation, high-tech, enfance, tourisme… Cette année, le nombre de Ligériens exposants s’élève à 11 (10 en 2023) parmi lesquels deux mises en avant par la Chambre des métiers et de l’artisanat de la Loire (le réseau des CMA est partenaire) : KKO Concept (chocolatier de Charlieu lauréat d’Artinov Loire 2024) et Unimoi, créatrice de bijoux et accessoires située à Chazelles-sur-Lyon et « placée » dans les exposants du Rhône dans les listes publiées par le site de l’événement.
« Création ne signifie pas fabrication française »
L’industriel forézien Sigvaris est aussi de la partie, tout comme 909 Upcycling (Saint-Etienne) dont nous vous avions parlé à son lancement, Basal Nutrition (Saint-Jean-Bonnefonds), Cocoon Mobilier (Montbrison), EVVO (Bourg-Argental), Le Pull Français (Riorges), Les Tricots Marcel (Roanne), Pâte à tartiner (Civens), Raconteuse d’histoires textiles (Saint-Just-Saint-Rambert).
* Les produits présentés sur MIF Expo doivent impérativement être fabriqués en France. « Les critères de sélection s’orientent autour de la valorisation du savoir-faire français, du nombre de personnes travaillant dans l’entreprise et du pourcentage de fabrication réalisé sur le territoire. Ces critères sont en conformité avec l’appellation MIF du code douanier, précisent sur le site dédié au rendez-vous les organisateurs. Bien conscient qu’aujourd’hui certains produits ne peuvent être intégralement fabriqués en France, l’équipe MIF Expo étudie avec minutie chaque dossier exposant afin de déterminer dans quelle mesure elle valorise l’économie et l’industrie française. Nous sommes cependant rigoureux sur un point : création ne signifie pas fabrication française. »