La politique RSE des Mines Saint-Etienne obtient une reconnaissance internationale
L’École des Mines de Saint-Etienne vient d’être classée dans le Top 600 mondial des établissements d’enseignement supérieur les plus avancés en matière de développement durable et responsabilité sociétale dans le classement Impact publié par le Times Higher Education. Un mensuel britannique « qui fait autorité dans le monde académique ». Mines Saint-Etienne est notamment classée 97e établissement mondial dans la catégorie « ODD 11 – villes et communautés durables ». Le palmarès annuel Impact classe les établissements d’enseignement supérieur mondiaux selon les 17 « Objectifs développement durable » (ODD) de l’ONU, en se basant sur leur production scientifique, leurs enseignements et leurs pratiques. 1 400 établissements ont été évalués en 2022 contre 1 100 en 2021.
« Le fruit d’une stratégie volontariste »
Outre sa bonne place au classement général, Mines Saint-Etienne se référence spécifiquement sur 6 ODD : dans le top 100 (97e) donc pour l’ODD 11 (villes et communautés durables) ; dans le rang des 100-200 pour les ODD 7 (énergie propre et abordable) et 13 (lutte contre les changements climatiques) ; dans le rang 200-300 pour les ODD 8 (travail décent et croissance économique), 9 (industrie, innovation, infrastructures) et 12 (production et consommation responsables). « Ces excellents résultats, qui positionnent clairement Mines Saint-Etienne parmi les établissements leaders mondiaux pour la transition environnementale, sont le fruit d’une stratégie volontariste de développement durable et responsabilité sociétale », commente l’emblématique établissement stéphanois désormais dirigé par Jacques Fayolle.
Mines Saint-Etienne met ainsi en avant son Institut Henri Fayol, centre de recherche dédié à l’efficience, la résilience et la durabilité des territoires du futur, et deux formations : le mastère spécialisé® « Expert en efficacité énergétique » et le mastère spécialisé® « Chef de projet sites et sols pollués ». L’école rappelle aussi ses « pratiques durables du « vivre bien » au quotidien sur ses campus, avec la mise en place du télétravail, un accès facilité au logement et un plan de mobilité durable pour les personnels et les étudiants ». Mais aussi sa politique de vulgarisation scientifique ou encore son objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre par personnel et étudiant de 28 % d’ici 2030.
