Dans Paris Match, Gaël Perdriau sous-entend une implication des francs-maçons
Le moins que l’on puisse dire, c’est que Gaël Perdriau n’est pas rancunier. Trois mois après un article de Paris Match le confondant pourtant avec son directeur de cabinet, Pierre Gauttieri, concernant un projet de barbouzage à l’encontre de Michel Thiollière, le maire de Saint-Etienne a accordé un long entretien au magazine publié ce lundi 29 janvier.
Les francs-maçons aux premières loges ?
Dans cette interview, l’édile réitère les arguments qu’il a avancé lors du conseil municipal de lundi. Ainsi, pour lui, il n’existe aucune preuve qu’un chantage ait été exercé sur Gilles Artigues. Mais, de manière inédite, le maire sous-entend l’implication de la franc-maçonnerie dans l’affaire.
« J’ai découvert beaucoup de choses dans le dossier, déclare-t-il. Egalement sur la franc-maçonnerie. Le juge m’a demandé si j’étais franc-maçon. C’est étonnant, non ? Je ne le suis pas, je n’ai rien pour, ni contre. Ce n’est pas mon choix. Un très grand nombre de protagonistes le sont. L’expression : ‘on s’est dit ça sous le maillet’ revient à de nombreuses reprises ». Gaël Perdriau semble faire référence au maillet maçonnique, symbole de volonté d’agir chez le franc-maçon.