Les Stéphanois n’ont jamais été aussi friands d’apprendre

La belle ville de Saint-Etienne, arrive de plus en plus sur le devant de la scène en matière d’innovation. Et si aujourd’hui c’est possible, c’est aussi grâce à l’avancée aérospatiale, notamment suite à la création du dosimètre à fibre optique que Thomas Pesquet a embarqué avec lui lors de sa dernière mission sur l’ISS. Aujourd’hui, les Stéphanois n’ont jamais été aussi curieux et friands d’apprendre et d’innover. 

Une université riche en possibilités

Si Saint-Etienne et ses habitants sont autant attirés par la créativité et l’envie d’apprendre, c’est notamment grâce à l’Université Jean Monnet qui offre beaucoup de possibilité à la jeunesse stéphanoise. 

Pour prendre des cours à Saint-Etienne, 23 diplômes sont accessibles au sein de cette Université. Du simple DU au Doctorat, rien n’est impossible au sein de cet établissement. Les étudiants stéphanois ont l’opportunité d’étudier dans presque tous les domaines tout en profitant de partenariats avec l’étranger. Ils pourront ainsi faire une partie de leur cursus à l’étranger presque n’importe où dans le monde. 

Avec 6 campus différents répartis dans les quatre coins de la ville, Saint-Etienne dispose de l’un des plus grands campus de France. Chaque diplôme, et chaque domaine sont répartis dans l’un des campus permettant aux étudiants de profiter d’infrastructures adaptées à leur besoin en fonction de leur formation. 

USE’IN – L’incubateur de bonnes idées

Si aujourd’hui Saint-Etienne est le point de départ de nombreuses entreprises, c’est notamment grâce à l’incubateur Use-In. 

Rattachée directement à l’Université Jean Monnet, la Base est pilotée par l’école d’ingénieurs Télécom de Saint-Etienne. Leur but premier est de participer à l’émergence des start-ups en les accompagnant dans les projets numériques et technologiques. 

L’incubateur USE’IN accompagne depuis 10 ans les start-ups. Il est aujourd’hui implanté sans le Centre des Savoirs et de l’Innovation que l’on appelle LA BASE. 

La Base c’est quoi ? C’est une infrastructure qui s’étend sur pas moins de 300 m2, et qui se compose de plusieurs bureaux individuels, d’une salle de réunion et d’un espace commun de 70 m2. 

L’incubateur permet entre autres de bénéficier de suivi personnalisé pour aider les entrepreneurs, étudiants ou salariés à mener à bien leur projet. Il permet également d’accéder à un réseau d’experts, et de créer un lien avec tous les acteurs de la vie stéphanoise. 

A l’heure actuelle trois start-ups occupent les locaux de l’incubateur. On retrouve une petite entreprise kuIR qui travaille sur l’élaboration d’un appareil de cuisson à basse température, Lightlab.io, est une agence de communication pas comme les autres, et Woolchip quo permet de découvrir toutes les sorties possibles dans les grandes villes de France. 

Une ville qui fourmille de start-ups et d’innovations

Si l’incubateur permet aux jeunes entrepreneurs de se rencontrer et de faire naître leurs projets, Saint-Etienne grouille depuis quelques années, d’esprits vifs et d’un appétit accrue pour l’innovation. 

Du site pour assurer ses animaux en deux minutes, à l’entreprise qui permet offre es solutions de cybersécurité pour les TPE/PME, Saint-Etienne est l’une des villes en France où le plus de projets technologiques voient le jour. 

Si le dosimètre est aujourd’hui dans l’espace, Saint-Etienne continue sur sa lancée dans l’innovation. Curieux et friands de nouvelles possibilités, les Stéphanois débordent de bonnes idées. 

Et ça, la commune l’a bien compris, et propose régulièrement des plans de développement pour aider les entreprises innovantes. De plus, de nombreux FabLabs émergent entre Lyon et Saint-Etienne pour offrir des espaces aux scientifiques et aux étudiants pour que ces derniers puissent laisser libre court à leur créativité, et concevoir les innovations de demain. 

Un autre projet de la région appelé VITALES permet aux recherches médicales d’avancées dans des infrastructures adaptées aux besoins de ces domaines. Equipements de pointes et partage de savoir-faire sont les maîtres-mots de ce projet.