Le Méliès Brasserie rachète La Belle Époque
D’ici la fin de l’année, le Méliès aura solutionné son manque de place, et offrira même à sa clientèle la possibilité de se garer. La brasserie vient en effet de faire l’acquisition de La Belle Époque, rue Rouget de Lisle.
« Nous avions un problème d’espace de stockage, de local poubelle, et de vestiaire, indique Grégoire Claret, gérant du Méliès Brasserie. Cela fait deux ans que j’étais sur le coup pour racheter ce bâtiment par mandataire judiciaire ». Voilà qui est chose faite. La Belle Époque, qui s’étend sur 450 mètres carrés, doit maintenant être en grande partie réhabilitée.
14 places de parking
« Nous avons commencé la démolition, il y a une grosse purge du bâtiment à réaliser pour qu’il redevienne sain. Mais grâce à cette acquisition, on répond au problème des vestiaires, de l’hygiène, et du manque de places de parking ». Car la brasserie et le café représentent 26 emplois au total, et donc tout autant de vestiaires qui prendront prochainement place au niveau d’une partie de la mezzanine de l’ancienne cafétéria. La seconde partie sera consacrée au stockage, et le local poubelle aura un espace dédié. Enfin, au rez-de-chaussée, 14 places de parking seront disponibles pour la clientèle.
300 000 euros d’investissement
Car selon Grégoire Claret, cette offre faisait encore défaut à la brasserie. « C’est un bâtiment stratégique car nous étions à l’étroit dès le début. Cela vient un peu souligner l’évolution du projet car nous avions un problème d’accessibilité. Certains ne venaient pas justement à cause de ça, même si il y a un parking sur la place, ils veulent pouvoir se garer en face ». Un accès qui viendra également soulager la clientèle de la cave, parfois chargée. Le rachat de La Belle Époque représente un investissement total de 300 000 euros, supporté par le Méliès Brasserie, pour une fin des travaux prévu d’ici décembre.